© Omid Jesmi et François Balestrière |
Passée la porte d’or, un voyage musical de Constantinople à Istanbul, à travers les traditions grecques et ottomanes, la voie sacrée entre orient et occident réinvestit la Salle Pleyel.
Deux rites ancestraux face à face dans une même incantation profane, baroque et hypnotique.
L’ensemble Constantinople enveloppe de ses émanations persanes, volutes d’harmonies médiévales, la polyphonie de Barbara Fortuna.
L’ensemble Constantinople enveloppe de ses émanations persanes, volutes d’harmonies médiévales, la polyphonie de Barbara Fortuna.
Une rencontre improbable qui sonne comme une évidence, tant le respect de ces deux civilisations, fortes d’une tradition culturelle dense, est réciproque. Consécration ultime : l’apogée est scénique.
L’essence mordorée de la sétar alliée à la viole de gambe accueille en son sein voluptueux la puissance terrienne des voix corses.
L’essence mordorée de la sétar alliée à la viole de gambe accueille en son sein voluptueux la puissance terrienne des voix corses.
Un châtaigné antique au cœur d’une alcôve lascive d’orient.
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