Le très singulier pianiste de jazz Stephan Oliva
nous livre un album pictural, évidemment cinématographique, d'une rare sensualité. Son intensité relative aux émotions du genre, est accentuée par des notes insondables, des rythmes sombres, parfois lourds. Les treize pistes (pour treize films) de cet opus nous plongent sans sommation dans la nuit urbaine des années 40's - 50's aux éclairages expressionnistes inquiétants.
Article très intéressant et bien écrit , même si c'est pas mon style de musique ça donne envie d'écouter ce pianiste , j'aime la démarche c'est original et ça sort des sentiers battus !!! pour une fois , mais ton blog prouve que la musique classique n'est pas (encore) à court d'idées pour ceux qui cherchent un peu et qui veulent autre chose que du Lang-Lang ou du André Rieu...
RépondreSupprimerXav.