Le très singulier pianiste de jazz Stephan Oliva
nous livre un album pictural, évidemment cinématographique, d'une rare sensualité. Son intensité relative aux émotions du genre, est accentuée par des notes insondables, des rythmes sombres, parfois lourds. Les treize pistes (pour treize films) de cet opus nous plongent sans sommation dans la nuit urbaine des années 40's - 50's aux éclairages expressionnistes inquiétants.